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PATRICK MIKHAIL MONTRÉAL EST FIER DE PRÉSENTER “WORLDS A PART” DE AMY SCHISSEL, UNE ŒUVRE IN-SITU REGROUPANT PEINTURES, DESSINS ET VIDÉO 
 
AMY SCHISSEL
WORLDS A PART

MONTRÉAL
DU 8 OCTOBRE  AU 21 NOVEMBRE, 2015
 
VERNISSAGE EN PRÉSENCE DE L’ARTISTE:
JEUDI 8 OCTOBRE 2015
DE 18 À 21 HEURES
 
 
PATRICK MIKHAIL MONTRÉAL est fier de présenter l’installation In-situ de la finaliste du prix RBC en peinture : AMY SCHISSEL. Cette exposition, intitulée WORLDS A PART, regroupe peintures, dessins et vidéos tout en prolongeant sa recherche sur la place qu’ont la peinture et le dessin dans l’ère digitale et leur pouvoir à repenser le paysage contemporain. Ce dernier volet pousse une recherche présentée auparavant à Volta New York en 2013 et Volta Basel en 2014.

Avec  WORLDS A PART, Amy Schissel se positionne devant l’angoisse que soulève la place de la peinture à l’ère digitale en créant une œuvre in-situ immersive mélangeant la peinture et la vidéo d’installation. C’est dans une optique à long terme qu’Amy Schissel travaille avec cette technologie omniprésente participant à notre culture visuellement gorgée et avide de données. Au travers d’œuvres alliant les langages de la peinture et du médiatique, elle fait ressortir les antagonismes identitaires au sein des liens géopolitiques. Dans une ère où les technologies se renouvellent constament, nos histoires autant collectives que personelles sont façonnées et ce, depuis leur apparition. De plus en plus que le monde bascule vers la numérisation, que nos considérations de l’espace et notre mouvement dans celui-ci changent, la démarche d’Amy Schissel elle aussi évolue pour mieux comprendre ces nouveaux contextes et l’impact sur l’identité culturelle et la conscience.

Le travail pictural d’Amy Schissel se penche sur le rôle de la peinture et du dessin à l’ère digitale. Elle nous montre la numérisation progressive de nos sociétés en imageant et cartographiant des données transcendant temps et espace, niant subtilement l’encrage géographique autrefois nécessaire à l’intéraction humaine. Elle repense notre paysage contemporain, le tout en mettant de l’avant notre place sociale dans un internet qui nous demande d’être partout et nulle part en même temps.
 
Après avoir complété un baccalauréat et une maitrise en beaux-arts de l'Université d'Ottawa respectivement en 2002 et 2009, Amy Schissel fut également finaliste du Concours de peintures canadiennes RBC en 2011. Lauréate du Brucebo Fine Arts Award et du RBC Emerging Artist Award d'Ottawa en 2009, son travail fut exposé à l'échelle nationale et internationale. On retrouve son travail dans plusieurs collections nationales et internationales telles que celle de la Banque d’art du Conseil des arts du Canada, les Affaires étrangères, Commerce et Dévelopment Canada, la Collection d’art public de la Ville d'Ottawa, l'Université Libre de Bruxelles, en Belgique, et le Musée des Beaux-Arts de Gotland, en Suède, en plus de nombreuses collections privées. Son travail est présentement exposé dans BIG BANG, commissarié par Jason St-Laurent, à la galerie SAW à Ottawa et elle a montrer son travail à: VOLTA New York 2013, VOLTA 10 Basel 2014, en Suisse, Art Toronto; Feature Contemporary Art Fair; Papier , la galerie de l’Université de Bruxelles, en Belgique, Karsh Masson Gallery à Ottawa, le Centre d'art Imagier à Gatineau, au Québec ,Carleton University Art Gallery. Ses expositions pan-canadiennes incluent l'Art Gallery of Alberta, Hamilton Art Gallery, et le Power Plant de Toronto. Amy Schissel est également récipiendaire de plusieurs subventions du Conseil des Arts du Canada, Conseil des arts de l'Ontario et la Ville d'Ottawa. Amy Schissel vit, travaille et poursuit sa pratique artistique à Pittsburgh, Pennsylvanie où elle est une Assistance Profresseure en peinture à l'université de l'ouest de la Virginie.

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