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LA GALERIE PATRICK MIKHAIL PRÉSENTE "INTERFACE", UNE EXPOSITION DE NOUVELLES ŒUVRES DE DONNA LEGAULT, AMY SCHISSEL ET ANDREW SMITH

INTERFACE

DONNA LEGAULT
AMY SCHISSEL
ANDREW SMITH

14 NOVEMBRE AU 22 DÉCEMBRE 2012

VERNISSAGE:
VENDREDI 16 NOVEMBRE 2012
17H30 À 21H30

ENTRETIEN AVEC L'ARTISTE
DIMANCHE 2 DÉCEMBRE 2012
14H

 

La galerie PATRICK MIKHAIL est heureuse de présenter INTERFACE, une exposition de nouvelles œuvres de l'artiste conceptuelle sonore DONNA LEGAULT, et des peintres AMY SCHISSEL et ANDREW SMITH. Dans l'exposition, les trois artistes explorent la frontière commune ou l'interconnexion entre leurs pratiques professionnelles, ainsi que les systèmes de dessin, de peinture et de numérisation où l'objet ou la technologie elle-même est le médiateur entre l'œuvre et le spectateur. L'exposition comprend une installation sonore in situ de Legault, ainsi que de nouvelles peintures et œuvres sur papier de Schissel et Smith qui " interagissent " l'une avec l'autre pour étudier comment la surface de chaque œuvre puise dans le langage de la numérisation et fait référence aux modes de représentation utilisés dans les interfaces numériques/écran informatisé.

DONNA LEGAULT
Donna Legault est une artiste conceptuelle sonore oeuvrant dans le domaine de l'art électronique, de l'installation sonore, de la sculpture et de la performance. L'intersection de ces pratiques trouve son centre d'intérêt dans la résonance du son en tant qu'extension dynamique des actions quotidiennes. Son intérêt pour la perception du son et du toucher attire l'attention des participants sur les qualités relationnelles du "bruit" comme présence matérielle et temporelle. Donna Legault détient un baccalauréat ès arts en histoire de l'art de l'Université Carleton et un baccalauréat en arts visuels de l'Université d'Ottawa. Elle a beaucoup exposé en solo et en groupe à la Galerie d'art de l'hôtel de ville d'Ottawa ; AXENEO7 à Gatineau ; Galerie 115 à l'Université d'Ottawa, Espace F à Matane, Québec ; Maison de la Culture à Gatineau ; Galerie Karsh Masson à Ottawa ; InterAccess Media Arts Centre à Toronto, Electric Eclectic Festival à Meaford, Ontario et à PDCON Exhibition Space à Berlin, Allemagne.

AMY SCHISSEL
Dans son travail le plus récent, CYBERFIELDS, Amy Schissel poursuit sa quête constante de la qualité progressivement dématérialisée de notre culture axée sur les données et saturée de médias dans le domaine de la peinture abstraite. Des schémas tourbillonnants, des systèmes de notation concentrés et des structures linéaires en toile négocient des moments hybrides où la peinture et les modes de représentation numérique entrent en collision. Ces systèmes, frénétiquement superposés pour visualiser les flux d'information en grande partie invisibles qui traversent les villes, flottent au-dessus des continents et semblent nier le besoin de localisation géographique pour l'interaction humaine et la communication. Ses œuvres sont une réinvention imaginative de notre paysage contemporain et sont devenues un moyen de réinsérer un sens de lisibilité civique là où le World Wide Web nous appelle à être partout et nulle part à la fois. Amy Schissel a été finaliste au Concours de peintures canadiennes RBC 2011. Ses œuvres font partie des collections de la Banque d'œuvres d'art du Conseil des Arts du Canada, du ministère des Affaires étrangères du Canada, de l'Université libre de Bruxelles, en Belgique, et du Gotland Museum of Fine Arts, en Suède, ainsi que de nombreuses collections privées internationales. Elle a obtenu son baccalauréat en beaux-arts de l'Université d'Ottawa en 2002 et sa maîtrise en beaux-arts de l'Université d'Ottawa en 2009. Elle a été la récipiendaire canadienne du Prix Brucebo des beaux-arts 2009 et a exposé à l'échelle nationale et internationale, notamment à la galerie de l'Université de Bruxelles, en Belgique, à la galerie Karsh Masson à Ottawa et au Centre d'art Imagier à Gatineau, au Québec. Elle est récipiendaire de diverses subventions et bourses du Conseil des Arts du Canada, du Conseil des Arts de l'Ontario et de la Ville d'Ottawa.

ANDREW SMITH
Les peintures d'Andrew Smith sont le résultat d'une tentative d'incarner physiquement une ligne de communication qui pourrait être donnée par le langage du mouvement. Les paramètres de ce mouvement sont orientés par la question de savoir comment réaliser un tableau qui puisse avoir un dialogue ouvert avec la représentation de son sujet. Au cœur de cette préoccupation se trouve la façon dont un téléspectateur peut être impliqué activement dans l'expérience. Dans son travail, Smith construit potentiellement une interface métaphorique entre l'expérience émotionnelle et sensorielle de la fabrication et la multiplicité des significations qu'un spectateur peut faire. Ce qui se passe réellement dans la réalisation de chaque tableau, motivé par la construction d'un système de marques ou par la configuration et le bousculade de formes, présente son propre ordre à partir duquel il peut prolonger un transport qui ne mime pas mais se mélange avec une expérience. Andrew Smith détient un baccalauréat en beaux-arts et une maîtrise en beaux-arts de l'Université d'Ottawa. Il a participé à de nombreuses expositions individuelles et collectives, notamment à la Galerie d'art de l'hôtel de ville d'Ottawa. Ses œuvres font partie de collections privées et publiques, notamment RBC-DEXIA, Londres, Royaume-Uni, et le ministère des Affaires étrangères du Canada.

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